Cette vidéo illustre comment initier une démarche participative locale sur les eaux souterraines. A Aousja, dans le gouvernorat de Bizerte en Tunisie, la démarche participative était basée sur la modélisation, avec les acteurs de la zone, de la gouvernance passée actuelle et future des eaux souterraines. Suite à la construction de modèles individuels via des entretiens, deux ateliers ont permis de mettre en discussion les résultats, en utilisant la méthodologie du visioning et du triangle du futur. Une quarantaine de participants ont ainsi pu identifier les leviers d’action pour aller vers une gestion plus durable et équitable des eaux souterraines dans la zone.

Cette vidéo illustre comment initier une démarche participative locale sur les eaux souterraines. A Limaoua, dans le gouvernorat de Gabès en Tunisie, la démarche participative était basée sur une théorie de conception appelée la théorie C-K (concept/connaissance). Cette théorie permet d’identifier des solutions innovantes au problème de dégradation et de surexploitation des eaux souterraines. Des entretiens et plusieurs ateliers ont été mis en œuvre avec une trentaine d’acteurs de la zone (agriculteurs, administration, associations d’usagers, chercheurs, etc.). Ils ont permis d’initier le dialogue entre les usagers et avec l’administration, de se mettre d’accord sur une préoccupation commune, d’identifier des principes de gouvernance des eaux souterraines, d’identifier des solutions à mettre en œuvre et de construire du capital social entre les participants.