La réutilisation des eaux usées est aujourd’hui un levier sous-exploité face aux enjeux de déficit en eau et de dégradation des milieux et des conditions sanitaires. La mise en place de projets de réutilisation des eaux usées durables et sécurisés requiert que les acteurs, qu’ils soient gestionnaires ou financeurs, disposent des éléments clés pour anticiper les risques et proposer des solutions adaptées aux usages et aux territoires.

L’agriculture est un secteur qui depuis longtemps valorise les eaux usées brutes, en dehors de toute planification. Aujourd’hui, au Nord comme au Sud, la réutilisation des eaux usées pour l’agriculture intéressent les politiques et décideurs locaux. Des projets de traitement des eaux incluant un volet réutilisation agricole émergent et le besoin de faire évoluer les cadres légaux, réglementaires et institutionnels se font ressentir en même temps que la nécessité d’accompagner et renforcer les capacités de l’ensemble des acteurs.Sur la base de retours d’expériences détaillés, d’une mise à jour des connaissances récentes et d’analyses des pratiques, des freins et des solutions opérationnelles, ce rapport guide et oriente les lecteurs-acteurs dans leur projet. Il propose des recommandations et des perspectives pour de futurs et nécessaires développements de connaissances, de méthodologies ou de technologies.

Centré sur les usages agricoles en zones péri-urbaines de pays en développement, ce rapport aborde ainsi les enjeux (i) de sécurisation des filières de réutilisation d’eaux brutes ; (ii) de choix de filières de traitement adaptées ; (iii) d’impacts sur les ressources ; (iv) des processus politiques, institutionnels et réglementaires ; et (v)d’évaluations économiques et environnementales par des outils d’aide à la décision.

Ce diagnostic institutionnel spécifique de l’Agence Nationale d’Appui au Développement Rural au Tchad est le résultat d’un travail conduit dans le cadre du chantier Rôles et place des sociétés d’aménagement dans le développement de l’irrigation en Afrique de l’Ouest, qui s’ancre dans l’axe Gouvernance des Systèmes Irriguées du COSTEA. Ce chantier intervient au moment où les états sahéliens connaissent une relance des investissements dans l’irrigation mais où les modèles existants sont questionnés. Ce travail vise à partager une analyse des forces et faiblesses d’un type d’organisation au travers de laquelle les politiques publiques de l’irrigation sont mises en place dans le territoire, la ‘Société d’Aménagement’.

Ce diagnostic institutionnel spécifique de la Société nationale pour le développement rural (SONADER) en Mauritanie est le résultat d’un travail conduit dans le cadre du chantier Rôles et place des sociétés d’aménagement dans le développement de l’irrigation en Afrique de l’Ouest, qui s’ancre dans l’axe Gouvernance des Systèmes Irriguées du COSTEA. Ce chantier intervient au moment où les états sahéliens connaissent une relance des investissements dans l’irrigation mais où les modèles existants sont questionnés. Ce travail vise à partager une analyse des forces et faiblesses d’un type d’organisation au travers de laquelle les politiques publiques de l’irrigation sont mises en place dans le territoire, la ‘Société d’Aménagement’.

Ce diagnostic institutionnel spécifique de la Société de développement agricole et industriel du Sénégal (SODAGRI) au Sénégal est le résultat d’un travail conduit dans le cadre du chantier Rôles et place des sociétés d’aménagement dans le développement de l’irrigation en Afrique de l’Ouest, qui s’ancre dans l’axe Gouvernance des Systèmes Irriguées du COSTEA. Ce chantier intervient au moment où les états sahéliens connaissent une relance des investissements dans l’irrigation mais où les modèles existants sont questionnés. Ce travail vise à partager une analyse des forces et faiblesses d’un type d’organisation au travers de laquelle les politiques publiques de l’irrigation sont mises en place dans le territoire, la ‘Société d’Aménagement’.

Ce diagnostic institutionnel spécifique de BagréPôle au Burkina Faso est le résultat d’un travail conduit dans le cadre du chantier Rôles et place des sociétés d’aménagement dans le développement de l’irrigation en Afrique de l’Ouest, qui s’ancre dans l’axe Gouvernance des Systèmes Irriguées du COSTEA. Ce chantier intervient au moment où les états sahéliens connaissent une relance des investissements dans l’irrigation mais où les modèles existants sont questionnés. Ce travail vise à partager une analyse des forces et faiblesses d’un type d’organisation au travers de laquelle les politiques publiques de l’irrigation sont mises en place dans le territoire, la ‘Société d’Aménagement’.

Ce diagnostic institutionnel spécifique de l’ODRS au Mali est le résultat d’un travail conduit dans le cadre du chantier Rôles et place des sociétés d’aménagement dans le développement de l’irrigation en Afrique de l’Ouest, qui s’ancre dans l’axe Gouvernance des Systèmes Irriguées du COSTEA. Ce chantier intervient au moment où les états sahéliens connaissent une relance des investissements dans l’irrigation mais où les modèles existants sont questionnés. Ce travail vise à partager une analyse des forces et faiblesses d’un type d’organisation au travers de laquelle les politiques publiques de l’irrigation sont mises en place dans le territoire, la ‘Société d’Aménagement’.

Ce diagnostic institutionnel spécifique de l’ORS au Mali est le résultat d’un travail conduit dans le cadre du chantier Rôles et place des sociétés d’aménagement dans le développement de l’irrigation en Afrique de l’Ouest, qui s’ancre dans l’axe Gouvernance des Systèmes Irriguées du COSTEA. Ce chantier intervient au moment où les états sahéliens connaissent une relance des investissements dans l’irrigation mais où les modèles existants sont questionnés. Ce travail vise à partager une analyse des forces et faiblesses d’un type d’organisation au travers de laquelle les politiques publiques de l’irrigation sont mises en place dans le territoire, la ‘Société d’Aménagement’.

Ce diagnostic institutionnel spécifique de l’OPIB au Mali est le résultat d’un travail conduit dans le cadre du chantier Rôles et place des sociétés d’aménagement dans le développement de l’irrigation en Afrique de l’Ouest, qui s’ancre dans l’axe Gouvernance des Systèmes Irriguées du COSTEA. Ce chantier intervient au moment où les états sahéliens connaissent une relance des investissements dans l’irrigation mais où les modèles existants sont questionnés. Ce travail vise à partager une analyse des forces et faiblesses d’un type d’organisation au travers de laquelle les politiques publiques de l’irrigation sont mises en place dans le territoire, la ‘Société d’Aménagement’.

Ce diagnostic institutionnel spécifique de l’AMVS au Burkina Faso est le résultat d’un travail conduit dans le cadre du chantier Rôles et place des sociétés d’aménagement dans le développement de l’irrigation en Afrique de l’Ouest, qui s’ancre dans l’axe Gouvernance des Systèmes Irriguées du COSTEA. Ce chantier intervient au moment où les états sahéliens connaissent une relance des investissements dans l’irrigation mais où les modèles existants sont questionnés. Ce travail vise à partager une analyse des forces et faiblesses d’un type d’organisation au travers de laquelle les politiques publiques de l’irrigation sont mises en place dans le territoire, la ‘Société d’Aménagement’.

Cette publication trouve son origine au sein du Costea. Il implique la Fondation pour l’agriculture et la ruralité dans le monde (FARM) et le Réseau formation agricole et rurale (FAR), qui s’intéressent aux enjeux de l’eau agricole et de la formation / appui-conseil aux agriculteurs dans les pays du Sud.

Le présent rapport s’inscrit au sein de l’axe thématique « Gouvernance des systèmes irrigués et conduite du changement en irrigation ».